Centre d’Information et de Conseil des Nouvelles Spiritualités – Sectes, un autre regard
(les textes en i sont mes commentaires)
Le CICNS est une association sans but lucratif enregistrée sous le numéro W822000132 en préfecture de Tarn et Garonne (France).
Le CICNS n’est affilié ni ne fait la promotion d’aucune minorité spirituelle. Il est né de la nécessité d’engager une recherche sérieuse sur la place légitime de la recherche spirituelle dans une société, au-delà des passions, des certitudes et des amalgames tendancieux … (à propos du CICNS 1/2).
Avis important;
Etat des lieux;
Les événements tragiques (que le monde des dites normaux a bien aidé à provoquer) à l’origine du mythe des sectes;
Les activistes et la répression;
Alternatives à la pensée unique (en France au catholicisme);
actualités;
bibliographie;
FAQ;
le miroir de ce site;
adresse; CICNS, BP7, F-82270 Montpezat de Quercy;
contact par e-mail.
(A propos du CICNS 2/2): L’équipe du CICNS est constituée d’une douzaine de bénévoles …
… qui ont été les témoins et les acteurs de notre société ces dernières années en tant que chefs d’entreprise, juge, cadres commerciaux, ingénieurs, journaliste et qui se sont réunis aujourd’hui pour restaurer un dialogue sain au sujet de la démarche spirituelle en association avec des responsables spirituels, des sociologues, des ethnologues et des avocats qui sont nombreux à prendre une part active à ce projet (Lire Mais qui se cache donc derrière le CICNS?).
Le CICNS propose de collecter des témoignages, de fournir un soutien moral et juridique et d’organiser la dénonciation de discriminations par des manifestations diverses … (suite avec des liens).
Most People Have An Opinion About Religious Movements, INFORM has the Facts.
Cycle de citations aléatoires à chaque chargement de la page d’acceuil: Il vient un jour, dans nos sociétés, où l’on réalise que pour rester intègre, fidèle à sa foi ou ses choix de vie, on doit confronter l’oppression des puissants et des ignorants (ou des retardés obstinés qui font la lèche aux puissants et qui sont leur plus fervents défenseurs).
Ce jour-là, on sent qu’il y a encore deux choix possibles: se taire et rester tranquille dans l’ombre des lois liberticides ou parler et risquer d’être bousculé en exposant son désaccord. Mais plus les lois deviennent effectivement liberticides moins le choix est réel (ce qui veut dire que le seuil critique en nombre des ignorants/obstinés a été dépassé, ils ont pris le pouvoir, comme dans certains pays les fondamentalistes de l’Islam).
En effet, les dérives font qu’il ne s’agit plus seulement d’être discret et conforme mais d’abandonner tout simplement ce que l’on ressent être juste et précieux (on appelle cela une dictature, ce qu’une petite secte ne peut pratiquement jamais imposer aux autres, seulement une grande réligion a le pouvoir de forcer le reste de la société dans un fondamentalisme).
Il n’y a alors plus d’alternative à moins de se renier: nous devons vivre notre vie en accord avec ce qui est juste et précieux parce qu’on ne peut tout simplement pas le sacrifier. Quelle vie resterait-il derrière un tel sacrifice?
Il n’y a donc plus de question, même si la tristesse et l’impuissance sont parfois au rendez-vous. Ce jour est arrivé.
Les tracasseries sont de plus en plus fréquentes et l’épée de Damoclès des puissants (et de leurs serviteurs) est au-dessus de toutes les têtes de ceux qui ne demandaient qu’à vivre cette existence comme ils l’entendent.
La pression des puissants ne peut que réveiller le désaccord des minorités. Et le monde a évolué plus d’une fois de cette manière dans le passé. Faisons connaître notre désaccord, paisiblement mais avec courage … par André Tarassi.