… il se chante et danse en rap – les pompiers professionnels font leur ‘com’. Inédit !!
Reçu par mail par une ‘pompière volontaire’, avec la consigne: ‘à diffuser sans modération’:
Publié dans la Tribune de Genève, par THIERRY MERTENAT, le 19 Septembre 2007.
Download le rap-clip (et click sur wmv ou mpg pour le voir en video).
«Non, Madame, ceci n’est pas une centrale de renseignements.» Cette petite phrase, polie mais ferme, les sapeurs-opérateurs du 118 la répètent en moyenne 20 fois par jour. Ils ne sont pas payés pour ça, surtout dans ces moments sensibles – incendie, intempéries, accident majeur – où les séquences de grande alarme se succèdent à un rythme soutenu.
La faute à qui? Aux fonctionnaires du mal nommé Office fédéral de la communication. Hier mardi, le commandant du SIS, Raymond Wicky, n’a pas mâché ses mots pour dire à la presse ce qu’il pensait de leur travail. Et notamment de la «désactivation définitive», le 31 décembre 2006, des numéros de service 111 (nationaux) et 115 (internationaux). Lesquels ont été remplacés, sans information sérieuse au public, par des numéros 18xy qui font davantage penser à d’anciens cours de génétique qu’à un annuaire citoyen.
Bref, c’est le bordel XXL et il suffit, pour s’en convaincre, de consulter l’opaque site Internet de l’OFC.