Comité de coordination des Associations & des Particuliers pour l’application des Droits de l’Homme en matière de croyances
Remanié le 22 juillet 2010 pour montrer qu’il y a deux sites distinctifs:
CAP LC France:
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CAP Suisse:
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Pourquoi une contrepartie suisse au CAP LC (Coordination des Associations & Particuliers pour la Liberté de conscience)?
Les problèmes rencontrés en France par les voies alternatives du domaines de la santé et les mouvements spirituels minoritaires, incitent les responsables du présent site à prendre position.
Engagés dans des activités similaires, ils se proposent d’informer le public francophone sur le climat dont bénéficie à cet égard la population suisse. Ils espèrent par là montrer qu’une co-existence pacifique entre personnes de bonne volonté, bien que venues d’horizons religieux divers, existe véritablement.
Un accent mis sur les Droits de l’Homme:
S’il est un document qu’il convient de rappeler ici, c’est bien celui de la Déclaration universelle des Droits de l’Homme, bien à propos dans ce contexte puisqu’il s’agit d’une initiative d’origine française. Commençons par en rappeler ici deux articles pertinents:
- Art. 18: Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites.
- Art. 19: Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit.
De plus, bien que rarement évoqué, un élément très important figure dans le préambule de la Constitution française. Il place les Droits de l’Homme au-dessus même du principe de la laïcité, révélant ainsi la place qu’ils tenaient dans le cœur des signataires de ladite constitution (selon l’observation pertinente de Me François Jacquot avocat au barreau de Paris). C’est cette priorité qui a inspiré le choix du sigle de notre association qui se nomme:
CAP Droits de l’Homme, Comité de coordination des Associations & des Particuliers pour l’application des Droits de l’Homme en matière de croyances.